Les étudiants comoriens au Sénégal ont manifesté ce dimanche contre le hold-up électoral et la dictature qui sévit actuellement aux Comores. A la fin de leur manifestation, ils se sont rendus dans les locaux du Journal en ligne Senego pour se plaindre du régime dictatorial dirigé par son excellence le dictateur putschiste Azali Assoumani. Lors de leur intervention, ils ont demandé au président sénégalais de ne pas reconnaître le hold-up électoral.
Chers étudiants comoriens, la mobilisation reste tjrs une expérience meilleure.
Seulement,cette mobilisation doit être nourri par des idées solides et avoir dans les valises des sorties possibles à chaque situation.
Deux grandes familles composent notre diasporas.
Des étudiants comoriens au Sénégal comme les comoriens de Marseille, montrent et manifestent leur amertume par rapport aux resultats des elections du 24 mars.
En ce moment,il serait préférable que cette colère nationale se réorganise par des thématiques.
Il y a le mal de tout le temps, même si d’autres plus graves encore s’ajoutent à la liste.
C’est ce qui se passe en ce moment.
Mais attention !
La dessus il y a un piège,
Commençons par le CNT
Quelle est sa place dans la destitution du président azali ?
Quelle est la place de la mobilisation citoyenne ainsi que celle des étudiants ( ou jeunesse) dans la question du bien être humain et amélioration cadre de vie.
Regarder, les listes montrent que le diasporas a vote aux élections du 24 mars.
Au processus électoral nous ne sommes pas associés.
Je crois que le droit d’être comorien ne suffit pas, en plus tu n’y figures nul part, dans le processus d’élection.
« Sénégalais » et « je viens »
Où est votre légitimité à invalider des elections aux comores ?
Parcontre le diasporas peut porter pièce à convicttiôn lorsque une enquête est ouverte.
Le CNT s’occupe de l’international et la population concerte la bonne gouvernance avec le pouvoir en place.
Ceci sans tenir compte de rien que ce que à été proclamé.
Un nouveau elan qui n’est pas celui de Mtsoudjé allait commencer.
Vive le komor !